Je n'y prêtais pas attention, et pourtant, j'y passais souvent. Je ne m'y intéressais pas, comme ci cet endroit n'existait pas...
J'aperçus d'abord - à travers cette couche épaisse de crasse et de poussière - la cour bétonnée de Gabriel Fauré. Plus loin, un ruban large grisâtre : la route, ou plutôt la barrière séparant le lycée du cimetière.
Je me mis à contempler cette vue, me laissant porter par mes plus étranges pensées.
Pourquoi mettre des vitres ? Tout simplement pour laisser passer la lumière, mais aussi pour laisser passer la vérité, la vérité sur ce qui nous entour. Aujourd'hui, j'espère ne pas être la seule à avoir remarqué cela.
J'aperçus d'abord - à travers cette couche épaisse de crasse et de poussière - la cour bétonnée de Gabriel Fauré. Plus loin, un ruban large grisâtre : la route, ou plutôt la barrière séparant le lycée du cimetière.
Je me mis à contempler cette vue, me laissant porter par mes plus étranges pensées.
Pourquoi mettre des vitres ? Tout simplement pour laisser passer la lumière, mais aussi pour laisser passer la vérité, la vérité sur ce qui nous entour. Aujourd'hui, j'espère ne pas être la seule à avoir remarqué cela.
Derrière chaque vitre se trouve un paysage, soit le monde extérieur.
Memento mori, nous disent donc les vitres!
RépondreSupprimerun peu lugubre, mais malheureusement vrai....