Les premiers pas qui se hissent vers le haut sont les plus éreintants.
De plus, dans la montée, il faut trainer avec soi le poids d'un bagage dont on ignore le contenu, qui, quand on perd l'équilibre, vous tire irrémédiablement vers le bas.
Alors il faut avancer, encore et encore, continuer de poser ses pieds sur des certitudes bancales, avec on ne sait quel but en tête.
Et même si des grilles semblent vous protéger de la chute, une étrange sensation de vide à l'idée d'avoir gravit tant de pierres sans parachute vous envahit.
Une fois que vous êtes en haut, au somment de cent marches glissantes, de petites fenêtres s'ouvrent sur l'extérieur.
C'est là que l'envie folle de sauter pour sentir les vagues du mondes vous prend.
Sauf que...vous n'avez toujours pas de parachute...
De plus, dans la montée, il faut trainer avec soi le poids d'un bagage dont on ignore le contenu, qui, quand on perd l'équilibre, vous tire irrémédiablement vers le bas.
Alors il faut avancer, encore et encore, continuer de poser ses pieds sur des certitudes bancales, avec on ne sait quel but en tête.
Et même si des grilles semblent vous protéger de la chute, une étrange sensation de vide à l'idée d'avoir gravit tant de pierres sans parachute vous envahit.
Une fois que vous êtes en haut, au somment de cent marches glissantes, de petites fenêtres s'ouvrent sur l'extérieur.
C'est là que l'envie folle de sauter pour sentir les vagues du mondes vous prend.
Sauf que...vous n'avez toujours pas de parachute...
Ah! les vagues du monde!
RépondreSupprimerÀ quand la distribution gratuite de parachutes ?
merci pour ce trés beau texte.