mercredi 3 novembre 2010

Il n'attend Personne ...

Dans chacune des petites salles trop bien rangées, avec leurs chaises orangées, aux sols grisés et leurs tableaux poussiéreux, qu'on trouve dans ce lycée, on peut y voir, accroché sur les murs blanchâtres qui reflètent si bien la froideur des lieux, ces petites pendules argentées aux nombres stricts et serrés, qui prennent un malin plaisir à jouer avec nos nerfs. Ces pendules là, celles qu'on adorent détester. Celles-là même qui semblent s'arrêter en cours de maths ou de Français et c'est toujours elles qui semblent s'accélérer lors de la pause déjeuner.
Celles qui oublieraient presque de sonner en S.V.T et celles qui nous surprennent aux récrés.

Oui je n'ai pas peur de l'affirmer, ces petites pendules circulaires bien trop parfaites se moquent de nous, Oui le temps s'amuse de nous ...

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